Lady Diana

Je m'appelle Diana Elise Lestrange. Je suis né(e) le 29 décembre 1980 et je suis donc âgé(e) de 41 ans.
Actuellement, je travaille en tant que Gerante de maison-close. J'ai effectué ma scolarité à BeauxBatons.
Je suis une sang pure, je suis mariée à Archibald Lestrange.
Ma baguette est composée comme ceci : En bois de charme, avec un cheveu de Vélane. 22.3cm, très fine. Une baguette très raffinée..
Mon patronus est représenté par un paon.
Mon personnage est incarné par la délicieuse Gal Gadot.

Le principal trait de caratère de Diana, malgré sa vie tumultueuse et dévergondée, est son incroyable fierté. C'est une dame de noble ascendance au sang-très-pure, son image était déjà très importante lorsqu'elle était jeune, elle apprit vite qu'elle l'était d'autant plus en devenant une femme, afin de pouvoir s'imposer dans le monde.
Parfaitement flegmatique, Diana ne perd jamais le contrôle de ses nerfs, et nul ne l'a jamais vu énervée. En réalité, on pourrait presque parler de "colère froide". La splendide brune est toujours très calme, conserve toujours le même timbre de voix, la même intonation, et surtout un éternel sourire. Un sourire, jamais hypocrite, mais souvent à connotation malsaine. C'est lorsque ce sourire disparait, et que son regard bienveillant se fronce, que la terreur s'installe chez les autres. Il n'y a guère plus effrayant que les personnes dont l'on ne connait pas les affres de leur véritable colère.
Mme Lestrange est surtout une charmeuse incroyable, et une parfaite usurpatrice. Sorcière très moyenne, elle vit parfaitement dans l'illusion et le paraître. Elle compte sur sa verve et sa force de conviction pour s'affirmer et se faire entendre de sorciers plus puissants et plus intimidants qu'elle. Elle use de multiples compliments pour endormir les méfiances, de sensualité pour s'offrir toutes faveurs et s'entourer de personnes capables de lui décrocher la lune, lui épargnant la peine de dévoiler sa médiocrité magique.

Très à cheval sur l'honneur, comme dit précédemment, la Dame est fortement attachée à son héritage. Son fils, Arian, est la prunelle de ses yeux, mais elle se montre intransigeante à son sujet. Pas question qu'il devienne un loubard à porter des vestes en cuir ou qu'il traine avec ces infâmes sangs-mêlés ou pire, des sangs de bourbe malodorants. Le jeune garçon peut obtenir d'elle tout ce qu'il veut à partir du moment où ses fréquentations sont justes, que ses activités sont nobles (qu'elle ne le voit pas faire l'andouille sur un balai volant, un "sport" réservé à la plèbe et aux prolétaires) et que sa scolarité soit fructueuse. Elle est particulièrement fière de lui et n'a de cesse de le mettre en avant lors des mondanités, afin de vanter ses très nombreuses qualités.
Lady Diana est également très soucieuse des personnes placées sous sa protection et ne laisse personne maltraiter ses protégés. Cela concerne en premier lieu son fils, bien évidemment, sa descendance, le plus grand amour de sa vie, mais également "ses filles", entendez par là les prostituées de sa maison close. Son établissement se veut être un modèle respectable, et elle sait parfaitement comment remettre à sa place un client trop grossier ou dangereux pour le bien être de ses gagneuses.

Diana pourrait avoir sa photo afin d'illustrer la définition de l'élégance. Sa silhouette ne comporte pourtant pas certains atouts si chers à la gent masculine. Elle a de petites fesses et sa poitrine, sans être plate, ne jouit pas de courbes généreuses. Pour autant, ses jambes, d'une longueur infinie, n'en finissent pas de faire tourner les têtes, surtout lorsqu'elle s'amuse à les mouvoir avec lenteur. Sa peau latine, toujours hâlée même dans l'hiver du Royaume-Uni, au grain parfait, ne souffre d'aucune imperfection. Ses mains, toujours manucurés, aux ongles tantôt noirs, tantôts rouges, font frissonner hommes et femmes ayant l'honneur d'en être bénis. Sa bouche, aux lèvres fines mais parfaitement soulignées par le rouge à lèvre sont un appel à la luxure. Ses yeux bruns, secrets, ne laissent jamais rien transparaitre et contribuent à donner l'image de la vertu à une femme qui n'en a plus guère. Ses longs cheveux bruns, toujours soigneusement coiffés, semblent indépendants de sa démarche, et volent au vent toujours de manière gracieuse.

Diana Lestrange, est née Lady Diana Azara, du nom de cette noble famille princière du sud de l'Italie. Tout à fait, princière. Diana est une véritable princesse Italienne au sens strict du mot, descendante des rois sorciers qui ont jadis régné sur la péninsule méditerranéenne au temps des guerres contre les Géants et les Trolls.
Diana est la deuxième fille et la sixième enfant d'une famille de neuf enfants, cela sans compter une bonne douzaine de bâtards disséminés ici et là dans l'Europe latine. Le patriarche Azara, Alessandro fut un coureur de jupons notoire, et la maitresse de maison, Gabriele, désirait fonder une famille très nombreuse pour asseoir sa position de favorite auprès de toutes les maitresses. Dans cette famille royale, les moeurs n'avaient guère beaucoup changés depuis la renaissance moldue.
L'éducation avec ses frères et sœurs n'était pas telle que souhaitée pour la majoritée des enfants. Elle s'entendait à merveille avec toute sa fratrie, mais il leur était indispensable de tenir leur rang, aussi pour cela devaient-ils tous s'abstenir de tout ce qui peut paraitre "trivial", comme courir, sauter, crier ou rire de manière trop prononcée. Elle dût apprendre le piano très jeune, et à trouver des jeux qui ne sont pas salissants.
La petite Diana jouissait donc déjà d'une très grande collection de poupées de grande valeur. Certaines étaient animées et se déplaçaient partout dans sa chambre, d'autres étaient également douées de paroles. Sa chambre était un véritable orphelinat dont elle était la matriarche.

Diana est allée à l'école à BeauxBatons, un lieu qui lui convenait très bien de par la magnificence du palais et de l'importance que revêt les arts et la beauté au sein de l'école française. Elle développa encore là bas ses goûts artistiques et s'initia aux arts magiques, ou la manière d'animer la peinture et d'envouter par le son. Elle y fit preuve d'autant de talent et d'application que ses résultats à l'usage d'une baguette magique de révélèrent décevant, et que ses dons de potionniste ne rattrapèrent pas.
Forcément quelque peu frustrée par cet état de fait, Diana ne manqua pas de conserver la tête haute et de faire illusion. Si elle ne réussissait pas ses sortilèges, c'est simplement que la situation ne l'exigeait pas réellement, qu'elle n'en avait pas besoin ou qu'elle ne le désirait pas. Elle adopta également une fausse période rebelle ou elle refusa volontairement ses exercices, sécha les classes afin de ne pas dévoiler plus de ses difficultés. Par chance pour elle, son père instaurait trop de pression sur les enseignants et la direction pour que ceux-ci ne la rabrouent ou ne lui refusent son diplôme de fin d'étude.

Sixieme dans l'ordre de succession princière, Diana ne se faisait pas d'idées sur son avenir au sein des affaires politiques familiales. Au mieux elle serait invitée à assister aux conseils en tant que potiche, au pire on lui demanderait de ne jamais s'en mêler. Diana décida alors de suivre une voie différente. Courtisée dans les soirées mondaines de sa famille depuis l'âge de quatorze ans, elle finit par découvrir le pouvoir qu'elle pouvait obtenir sur les hommes par ses simples charmes. Ayant succombé aux plaisir de la chair à BeauxBatons vers ses seize ans, elle s'amusa comme escort-girl de luxe. Afin de ne pas nuire à sa famille et qu'aucun de la noblesse Italienne ne fasse le lien avec la jeune demoiselle de bonne famille qui assistait régulièrement aux bals, elle s'exila au Royaume-Uni.
La charme de son accent latin lui fit vite une sulfureuse réputation, connue comme "le Cygne Ecarlate", en raison des robes rouges qu'elle avait coutume d'arborer. Les grandes familles la payaient grassement pour s'exhiber à ses cotés, elle ne devait aucunement passer inaperçu.
C'est vers dix-neuf ans qu'elle accentua encore son activité en devenant plus qu'escort, une véritable prostituée haut de gamme. Par des principes qui s'amusaient qu'elle, elle n'acceptait ces nuits roses qu'en compagnie d'hommes mariés, ceci afin de lui octroyer un surplus d’intérêt érotique et que sa réputation ne se fasse pas trop ouvertement.

Elle rencontra Archibald Lestrange à 23 ans. Le jeune homme l'avait repéré lors d'une soirée où elle officiait comme escort-girl et l'avait ensuite engagé. Une fois, deux fois, cinq fois, dix fois. Au début, contre rémunération, Diana se laissait ensuite prendre par le beau garçon. Les rapports devinrent vite purement charnel, et c'était au tour de la jeune femme de les demander, séduite par la vigueur du sang-pur. Elle tomba enceinte de lui au cours d'une nuit de sexe intense où elle soupçonne désormais celui qui devint son époux de l'avoir drogué. En effet, Diana, en tant que prostituée, prenait toujours soin de consommer régulièrement des potions d'infertilités.
C'est pour son image, afin de ne pas faire naître un bâtard, que Diana et Archibald se marièrent en tout hâte. Le mariage fut d'une décadence affolante, l'argent ne manquant ni à l'une, ni l'autre famille, la moitié de l'Europe était conviée aux noces, et près de 2000 personnes s'y rendirent, dans une immense propriété Toscane.

Désormais mariée et maman d'un petit Arian, Diana rangea ses sous vêtements les plus affriolants au placard et délaissa ses accessoires de plaisir. Son fils devint sa nouvelle préoccupation et elle se dévoua à lui corps et âme. Mariée par nécessité plutôt que par amour, elle n'avait d'intérêt pour son mari que la gratitude de lui avoir offert la cinquième merveille du monde sorcier.
Elle donna à Arian une éducation exemplaire et autoritaire, avec autant d'amour que d'exigences, autant de présents que d'attentes. Le garçon eut droit à des cours de magie avant même d'entrer à Poudlard, prodigué par des précepteurs reconnus comme de puissants sorciers (qu'elle rétribuait par son simple sourire et une main doucement posée sur leurs avant bras). Elle lui enseigna elle-même le piano, et lui fit découvrir l'opéra et le théâtre. Son garçon devait obtenir la culture, l'élégance et le prestige de la famille Azara !
Lorsque son fils d'amour entra à Poudlard, Diana regretta son activité professionnelle. Maintenant trop connue pour être prostituée et condamnée à faire la fierté de son fils, elle fit évoluer encore sa précédente entreprise. Elle investit dans un hôtel qu'elle fit redécorer pour satisfaire une certaine gamme, fit venir des filles d'Italie, de France et de Grèce, et se fit ensuite reconnaître comme une puissante et respectable maquerelle. La renommée de son hôtel de passe traversa les frontières du pays, et des sorciers venaient de toute l'Europe pour goûter au savoir faire et aux prestations magiques (littéralement !) de ses protégées.
Devenue elle-même femme d'affaire, et soulagée de son mari intraitable qui croupissait désormais à Azkaban, elle gardait toujours un œil sur son fils chéri, telle une vraie mère poule. Elle intégra même le conseil des parents de Poudlard, de par ses généreux dons à l'école, afin de s'investir au mieux dans l'éducation de son fils prodigue.

Je m'appelle Nanou. J'ai 31 ans. Je suis passionné(e) par probablement quelque chose que je ne connais pas encore..
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